Caractères distinctifs :
Ce petit à moyen passereau est reconnaissable à son plumage sombre, son corps mince et ses ailes longues dont les pointes parviennent jusqu'au deux tiers de l''extrémité de la queue. Chez les oiseaux de la race gulmergi , les yeux sont un peu disproportionnés par rapport à la face, le bec fin présente une base plus large . Les adultes ont un dessus entièrement brun-gris duquel émerge un anneau orbital blanc. Les parties inférieures sont gris-brun avec une nuance légèrement plus pâle que le dessus. On peut apercevoir une tâche gutturale et un centre du ventre blancs. Les 2 partenaires sont identiques.
Chez les adulltes de la race nominale, la tête et les parties supérieures sont gris-brun cendré, l'anneau orbital est aussi proéminent que chez gulmergi.. Les lores sont légèrement chamoisés, il y a une large moustache blanchâtre et un trait malaire gris. La queue est noirâtre. En plumage frais, on constate d'imperceptibles pointes chamois sur les couvertures, ce qui forme une barre alaire. Les plumes du menton et la gorge sont blanchâtres, elles se développent vers le côté du cou où elles créent un demi-collier. Le reste des parties inférieures blanches contrastent avec les flancs gris-brun. Le bec et les pattes sont noirs. Une tâche orange à la base de la mandibule inférieure n'est pas toujours visible.
Les juvéniles sont brun fuligineux avec des taches blanches et chamois. Ils sont bien plus foncés que les petits gobemouches gris.

Chant et voix :
Les gobemouches de Sibérie sont souvent assez silencieux en dehors de la saison de reproduction. . Le chant est souvent très aigü , glouton et vorace, portant à faible distance et composé de 3 ou 4 notes qui son restituées de la façon suivante : "tsee-tsee-see".
Les cris sont identiques à ceux pratiqués par le gobemouche brun (M. dauricaa) . C'est un mélange de trilles et de notes désarticulées

Habitat et Lieux de Vie :
Les Gobemouches de Sibérie se reproduisent dans les forêts et les zones boisées composées de plantes à feuilles caduques. Ils fréquentent également les parcelles de rhododendrons, de conifères et les peuplements secondaires qui comprennent à la fois des confères et des sous-bois couverts d'une litière abondante. Comme une grande partie de leur habitat est située au Nord de la Sibérie jusqu'au sud du Kamtchaka , ces petits passereaux occupent aussi les forêts de taïga avec des épicéas, des saules et des cours d'eau à faible débit.
Les gobemouches de Sibérie vivent jusqu'à 4000 mètres en Chine, jusqu'à 2400m au Japon (bien que ce soit légèrement plus bas à Hokkaido).. Ils grimpent de 2000 à 3350 dans l'Ouest de l'Himalaya et de 2400 à 3600 dans l'Est de cette châine. Dans le sud-ESt asiatique , l'amplitude de leur aire de nidifiction est assez importante, de 2100 à 3800 mètres.
Pendant, la migration , ces oiseaux peuvent être obervés dans de nombreux genres d'endroits : broussailles littorales, plantations, parcs et jardins de grande étendue En hiver, on les trouve dans le même genre de plaines ouvertes et boisées que pendant le nidification. Cependant, ils occupent plus fréquemment la canopée ou la ramure sommitale des arbres.

Sous-espèces et Distribution
Comme son nom l'indique imparfaitement, ce passereau moyen niche en sibérie , du Lac Baikhlal à la presqu'île du Kamtchala. en plus, il se reproduit dans les îles de Shakaline jusqu'au Japon et à la liaison de l'Inde et de la Chine, du Pakistan au Tibet et en Thailande .Il y a officiellement 4 races régionales :

M. s. sibirica – niche au Centre & SE de la Siberie (jusqu'au Kamchatka), NE de la Mongolie, NE de la Chine (Mongolie Intérieure, Nord Liaoning et Jilin), Corée du Nord et Japon; non-nicheur à Taiwan, Sud de la Chine (Guangxi, Guangdong, S Fujian), Indochine et Nord de Borneo.

M. s. gulmergi– se reproduit au NE de l'Afghanistan et au Nord du Pakistan (NO de l'Himalaya).

M. s. cacabata – Niche au Centre & à l' Est de l'Himalaya jusqu'en Chine méridionale(S Xizang), au Bhutan et aux collines du NE de l'Inde (Assam ); visiteur hivernal au Sud Myanmar et au Sud de la Thailande.

M. s. rothschildi– reproducteur au C & Sud de la Chine (SE Qinghai, SE Gansu, S Shaanxi , Xizang et Sichuan), N et Ouest du Myanmar et NO du Vietnam; non-nicheur au Sud de la Chine (Yunnan, Guangdong), Indochine, Peninsule Malaise et Sumatra.

Comportements :
Les gobemouches de Sibérie ont un comportement assez semblable à celui des gobemouches gris (musciapa striata) mais ils ont un habitat bien plus forestier. Ils fréquentent particulièrement les trouées et les clairières qui possèdent des entrechevètrements de broussailles , des troncs d'arbre décharnés et des souches qui sont répandues ça et là, leur servant de postes d'observation pour la chasse. . A partir de branches mortes verticales, de racines tordues ou de fils téléphoniques, ces petits oiseaux volent dans toutes les directions pour capturer des moucherons distants parfois de plus de 10 mètres et ces mouvements circulaires servent parfois de diversion pour capturer une seconde proie sur le chemin du retour au nid. . A la sortie d'une carrière, ils pratiquent parfois une montée vertiale vers le ciel et ils reviennent au perchoir initial en pratiquant un plongeon après chaque capture. Ces opérations de chasse durent toute la journée et se poursuivent souvent jusqu'au crépuscule Des groupes restreints de 3 à 4 individus opèrent généralement dans l'espace réduit d'une clairière. Après les pluies, les gobemouches de Siberie chassent souvent à un niveau peu éloigné du sol , ils viennent même parfois à terre.
Les goobemouches de Sibérie niichent vers le sud à partiir de la fin sptembre . Le point le plus méridional de la migration se situe à Summatra et Boreo. Le reour au Pakistan, au Népal et dans le NE de l'inde s'effectue à partiiir du mois de Mai.

Reproduction ;
Les gobemouches de Sibérie ont un comportement assez semblable à celui des gobemouches gris (musciapa striata) mais ils ont un habitat bien plus forestier. Ils fréquentent particulièrement les trouées et les clairières qui possèdent des entrechevètrements de broussailles , des troncs d'arbre décharnés et des souches qui sont répandues ça et là, leur servant de postes d'observation pour la chasse. . A partir de branches mortes verticales, de racines tordues ou de fils téléphoniques, ces petits oiseaux volent dans toutes les directions pour capturer des moucherons distants parfois de plus de 10 mètres et ces mouvements circulaires servent parfois de diversion pour capturer une seconde proie sur le chemin du retour au nid. . A la sortie d'une carrière, ils pratiquent parfois une montée vertiale vers le ciel et ils reviennent au perchoir initial en pratiquant un plongeon après chaque capture. Ces opérations de chasse durent toute la journée et se poursuivent souvent jusqu'au crépuscule Des groupes restreints de 3 à 4 individus opèrent généralement dans l'espace réduit d'une clairière. Après les pluies, les gobemouches de Siberie chassent souvent à un niveau peu éloigné du sol , ils viennent même parfois à terre.
Les goobemouches de Sibérie niichent vers le sud à partiir de la fin sptembre . Le point le plus méridional de la migration se situe à Summatra et Boreo. Le reour au Pakistan, au Népal et dans le NE de l'inde s'effectue à partiiir du mois de Mai.

Nourriture :
Les gobemouches de Sibérie consomment principalement des insectes, ils sont surtout friants de mouches diptères. Ils apprécienr particulièrement les syrphides , les moucherons de la famille des chironomidés, les petits hymménoptères et coléoptères qu'ils trouvent aussi parfois le long ges sentiers et des chemins.

Protection/Menaces :
Les Gobemouches de Sibérie ne sont pas globalement en danger. Ils sont communs ou locaux en Sibérie, assez commmuns en Chine et au Japon. Leur répartition est inégale de l'Himalaya à l'indochine. On possède peu d'informations sur la densité de cet oiseeu : Au Pakistan, 2 à 3 couples nichent à 50 mètres les uns des autres.
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